Birasa n’ibigaragara ko Bwana Nkiko yakinnye nabi muri iyi minsi kandi uko akomeza guhurutura amatangazo avuguruzanya birushaho guha isura mbi Ishyaka FDU, pourtant ryagaragaje intambwe ikomeye muri iyi minsi mu rwego rwa demokarasi. Niba inyungu z’ishyaka arizo koko Nkiko yimirije imbere, yagombye kugerageza gukemura ibibazo biriho muri iki gihe mu ishyaka rye binyuze mu nzira ya diplomatie.Ukurikije uko FDU yitwaye muri iki gihe cyane cyane muri congrès yayo isanzwe, urasanga nta mpamvu nimwe yajustifia uku guhangana kwa NKiko. La manière musclée à laquelle il fait recours ne fait donc que confirmer ses maladresses en matière politique, ce que dénoncent déjà les observateurs les plus avisés [NDLR]
Me Twagiramungu:
C’est très ridicule le jeu auquel s’adonne le Dr. Nkiko Nsengimana qui n’était même pas candidat aux élections alors que les deux listes en compétition ont fusionné pour composer le comité directeur.Les FDU ont plutôt donné une bonne leçon de démocratie avec esprit d’ouverture. En lisant le communiqué final, je remarque que le parti est prêt à discuter la réintégration éventuelle de certains individus en qui beaucoup de militants n’ont même plus confiance pour diverses raisons s’ils en font la demande. Plus magnanime que ça, tu meurs.Au moment où les Rwandais apprennent encore le jeu démocratique et surtout l’alternance au pouvoir, le pas des FDU est à saluer avec tout son mérite.
Monsieur Nkiko dans son communiqué qui m’est arrivé ce lundi matin, accuse le Congrès d’Alost d’exclusions sur base ethnique et régionale. C’est une maladresse de plus que d’invoquer ce mensonge grossier qui risque d’anéantir complètement le peu de crédit qui lui restait. La rébellion qu’il tente désespérément d’organiser est certainement vouée à l’échec et risque d’hypothéquer les chances de réconciliation souhaitée par les Congressistes d’Alost.
Me Innocent TWAGIRAMUNGU
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Mr M. Shankuru:
Et si Dr Nkiko Nsengimana était mauvais perdant?
Nkiko Nsengimana, coordinateur sortant des FDU, dénonce la tenue du congrès dont il avait demandé le report, pour permettre d’abord la réintégration des membres exclus. « Pour moi, il s’agit d’une réunion tout à fait illégale et organisée en violation flagrante des statuts de notre parti », a-t-il dit à BBC Afrique. Il affirme qu’il ne reconnaît pas le comité directeur élu lors du congrès d’Alost. « Je vais continuer à exercer mes fonctions de coordonnateur des FDU », a-t-il soutenu.
N’importe quoi!
Petit rappel de l’amateurisme politique de Nkiko Nsengimana:
Lors de l’une de ses interventions sur radio Itahuka (dont j’oublie la date), j’avais noté les maladresses dont Dr Nkiko Nsengimana avait fait preuve en matière de communication. J’avais relevé un certains nombre des déclarations qu’il n’aurait pas du faire en tant qu’homme politique. A l’époque, je me suis attiré les foudres d’un intervenant qui lui, l’avait trouvé excellent. Qu’à cela ne tienne!
Et pourtant, quelques jours après, Maître Innocent Twagiramungu emboîtait le pas en pointant du doigt la mauvaise communication » politique » de Dr Nkiko Nsengimana lors de la même intervention. Il ajoutait même que les hommes politiques rwandais devraient avoir des coach en communication « politique »( Maître Twagiramungu, je vous demande de m’excuser si les termes exactes que vous avez utilisés ne sont pas reproduits fidèlement). A travers ses déclarations sur BBC Afrique, Dr Nkiko Nsengimana fait preuve d’incompétence et d’amateurisme politiques.
Dr Nkiko Nsengimana doit respecter le verdict des urnes ou alors accepter d’être mauvais perdant:
Si c’est un démocrate chevronné, convaincu et affirmé, il devrait savoir d’abord que le parti a choisi de suivre la voie démocratique et que les élections ont eu lieu dans les règles démocratiques. Il doit donc respecter le verdict des urnes. Il peut aussi choisir de remettre la carte du parti ( quitter). C’est son droit le plus absolu. Mais, quitter le parti ne serait pas bénéfique ni pour lui ni pour les vainqueurs des élections. Sûrement qu’ils vont trouver un terrain d’entente pour l’intérêt supérieur du parti et de la patrie.
Par ailleurs, il me semble que le mandant est pour deux ans. Ce qui n’est pas une éternité. Dr Nkiko Nsengimana pourrait revenir dans deux ans avec un nouveau projet de société. Nicolas Sakorozy ne veut-il pas faire son comeback pour rendre à François Hollande la monnaie de sa pièce? Mais il doit passer par les primaires de son parti pour convaincre aux militants qui l’ont vu perdre les présidentielles de 2012. C’est la loi de la démocratie.
Alors,
Dr Nkiko Nsengimana, ne soyez pas mauvais perdant.
Maurie Shankuru
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Innocent Twagiramungu Bonjour Jean Claude MULINDAHABI, Il n’y a aucun fondement juridique pour la constestation d’un congrès ordinaire qui a été prévu par un congrès extraordinaire . Personne et aucun autre irgane du parti ne pouvait changer cette décision du congrès extraordinaire de Breda qui a pris la décision de convoquer un congrès extraordinaire consacré uniquement aux élections et qui avait fixé les dates de la tenue dudit congrès.
Le Sieur NKIKO NSENGIMANA n’est pas un organe du parti. Il dit avoir avoir reporté le congrès en tant que Président du congrès. Illogique,car sa décision date du 09/09/2014, comment était-il président du congrès qui devait avoir lieu les 13 et 14/09? Par ailleurs , il présidait la commission électorale. Mais cette compétence , ni même cette de coordinateur CC ne lui permettaient pas d’agir contre la décision du congrès qui ne peut être révoquée que par une autre décision du congrès. Ce sont des règles élementaires dans toute association ou organisation. Ce que les internautes doivenet églement comprendre c’est que le Congrès de Breda avait limité les pouvoirs du CC (Comité de Coordination) que dirigeait NKIKO à l’extérieur du Rwanda et du CEP (Comité Exécutif Provisoire) qui se trouvait à Kigali puisque les deux institutions devaient fusionner et devenir un seul organe après le Congrès d’Alost. Aisi, le congrès de Breda avait décrété l’interim pour ces deux organes jusqu’au congrès d’Alost, période dans lequel ils devaient assurer les affaires courantes et prendre éventuellement une décion mais uniquement sur concetation entre les deux. Or, NKIKO n’a ni consulté le CEP de Kigali, ni réuni les membres du CC avant de diffuser sa décision de rebellion du 09/09/2014. Dans tous les cas, s’il avait eu des raisons sérieuses à expliquer aux congressistes en vue du report des élections, il serait venu les exposer et éventuellement obtenu ce report par une nouvelle décision du congrès, seul compétent. Ce qu’il n’a pas fait et ceci n’est qu’un mépris des règles élémentaires de fonctionnement, une dictature inacceptable. Voici, Jena Claude, vous pouvez lire et comprendre les décisions du congrès de Breda sur le site des FDU. Elles sont en langage facile et compréhensible à tout le monde. Bonne journée.
https://www.facebook.com/itwagiramung
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Mon cher Innocent Twagiramungu,
Il y a ce qui est prevu par la loi et ce qui est fait pratiquement. La difference entre les deux est trop grande surtout au Rwanda dont vos partis sont issus.
Si Nkiko parle de retour a la situation d’avant 2005, c’est qu’il connait les resultats du Congres d’hier et les risques qu’il considere comme deja consommes. Il ne faut pas s’enfermer devant les portes de la loi quand vous anticipez que vous risquez d’y etre isole.
Demandez plutot aux nouveaux elus de tenir compte du danger de rennaissance des trois anciennes composantes des FDU evoquees par Nkiko pour entrer dans la dance avec Nkiko-Ndahayo-Bicamumpaka-Musangamfura et proteger les acquis des FDU.
Je suis d’accord que des erreurs de procedures aient ete commises par le Dr. Nkiko qui a voulu arreter la chevre de Mr. Seguin trop tard, mais qu’auraient fait les congressistes si le quorum n’etait pas atteint?
L’election a deux listes separees prevue par le congres initialement a ete respectee pour aboutir aux resultats obtenus ou il y eu revision de la loi electorale le jour d’elections sans informer tous les electeurs?
Il n’est pas tard que Bukeye, Nkiko et Ndahayo convoquent leurs militants respectifs en un congres du salut pour FDU
BM. Byiringiro
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En voici le dernier courrier de Mr Nkiko…
Le Comité de Coordination des FDU-Inkingi continue ses activités.Nous continuerons d’assurer les activités du parti jusqu’à la désignation concertée d’un comité exécutif unifié dont feront aussi parti les membres de la branche dirigée par Monsieur Eugène Ndahayo.
En date du 10 septembre dernier, les représentants des deux branches du FDU-Inkingi, MM Eugène Ndahayo et Nkiko Nsengimana, ont annoncé au public leur décision d’entrer dans le processus d’intégration et d’unification en une seule et même force politique telle qu’elle était il y a de cela 3 ans et demi. La signature et l’engagement pour l’unification du parti ont été salués par beaucoup de militants, de sympathisants ainsi que par l’opinion publique rwandaise en général.
Par ailleurs, les communiqués faisant état de nommination d’un comité exécutif d’Alost ne doivent pas distraire les membres du parti ainsi que nos partenaires. La réunion convoquée les 13-14 septembre à Alost/Belgique par des membres de la commission électorale incompétente s’est tenue en violation de nos réglements et contre l’avis du président de celle-ci et contre l’avis du président du congrès des FDU à l’étranger.
Cette réunion est illégale et ses conclusions sont nulles et non avenues. En particulier, le comité directeur pléthorique sous la houlette de M. Joseph Bukeye, membre du comité de coordination actuel, en charge de la mobilisation, est illicite. La réunion d’Alost est en effet, en violation flagrante de l’article 2.1.2. du Règlement d’ordre intérieur, lequel stipule que le congrès est convoqué par son président, à défaut par les 2/3 des membres du comité ou des 2/3 des membres du congrès. Ce qui n’a pas été le cas.
Cette nouvelle dissidence au sein des FDU Inkingi, d’obédience RDR (Rassemblement républicain pour la démocratie au Rwanda) créerait inopportunément une troisième branche politique de notre parti, et consisterait en un recul historique qui nous ramènerait pratiquement à la situation de départ de 2005 lors des pourparlers pour la création des FDU par les organisations politiques, à savoir : les Forces de résistance pour la démocratie (FRD), l’Alliance démocratique rwandaise (ADR) et le RDR.
Au moment où il faut plus que jamais rassembler les forces pour mettre fin à un régime totalitaire au Rwanda, nous n’accepterons pas l’irruption d’un courant politique qui chercherait à construire et à regarder l’avenir à travers le rétroviseur déformant de l’apologie d’un régime révolu de la deuxième république et de l’encensement de l’exclusion basée sur des critères ethniques et régionalistes.
C’est la raison pour laquelle nous lançons un appel vigoureux à tous les membres des FDU Inkingi, à tous les sympathisants, à tous les amis de la démocratie de dénoncer cette dissidence au moment où nous nous engageons plutôt dans la voie de l’intégration du parti.Fait à Lausanne, le 14 septembre 2014
Nkiko Nsengimana
Coordinateur.
Email : umunsi@bluewin.ch
En date du 10 septembre dernier, les représentants des deux branches du FDU-Inkingi, MM Eugène Ndahayo et Nkiko Nsengimana, ont annoncé au public leur décision d’entrer dans le processus d’intégration et d’unification en une seule et même force politique telle qu’elle était il y a de cela 3 ans et demi. La signature et l’engagement pour l’unification du parti ont été salués par beaucoup de militants, de sympathisants ainsi que par l’opinion publique rwandaise en général.
Par ailleurs, les communiqués faisant état de nommination d’un comité exécutif d’Alost ne doivent pas distraire les membres du parti ainsi que nos partenaires. La réunion convoquée les 13-14 septembre à Alost/Belgique par des membres de la commission électorale incompétente s’est tenue en violation de nos réglements et contre l’avis du président de celle-ci et contre l’avis du président du congrès des FDU à l’étranger.
Cette réunion est illégale et ses conclusions sont nulles et non avenues. En particulier, le comité directeur pléthorique sous la houlette de M. Joseph Bukeye, membre du comité de coordination actuel, en charge de la mobilisation, est illicite. La réunion d’Alost est en effet, en violation flagrante de l’article 2.1.2. du Règlement d’ordre intérieur, lequel stipule que le congrès est convoqué par son président, à défaut par les 2/3 des membres du comité ou des 2/3 des membres du congrès. Ce qui n’a pas été le cas.
Cette nouvelle dissidence au sein des FDU Inkingi, d’obédience RDR (Rassemblement républicain pour la démocratie au Rwanda) créerait inopportunément une troisième branche politique de notre parti, et consisterait en un recul historique qui nous ramènerait pratiquement à la situation de départ de 2005 lors des pourparlers pour la création des FDU par les organisations politiques, à savoir : les Forces de résistance pour la démocratie (FRD), l’Alliance démocratique rwandaise (ADR) et le RDR.
Au moment où il faut plus que jamais rassembler les forces pour mettre fin à un régime totalitaire au Rwanda, nous n’accepterons pas l’irruption d’un courant politique qui chercherait à construire et à regarder l’avenir à travers le rétroviseur déformant de l’apologie d’un régime révolu de la deuxième république et de l’encensement de l’exclusion basée sur des critères ethniques et régionalistes.
C’est la raison pour laquelle nous lançons un appel vigoureux à tous les membres des FDU Inkingi, à tous les sympathisants, à tous les amis de la démocratie de dénoncer cette dissidence au moment où nous nous engageons plutôt dans la voie de l’intégration du parti.Fait à Lausanne, le 14 septembre 2014
Nkiko Nsengimana
Coordinateur.
Email : umunsi@bluewin.ch